265J - Fonds André et Christiane Couderc, correspondance (1939-1940)

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Cote/Cotes extrêmes

265J (Cote)

Date

1939-1940

Localisation physique

AD37 - site de Tours

Origine

Couderc, André
Couderc, Christiane

Biographie ou Histoire

Une histoire familiale de la Seconde Guerre mondiale

 

Un couple d'instituteurs : André et Christiane Couderc

 

André Couderc né le 27 avril 1913 à Tours, épouse à Tours, en 1937, Christiane Picard, née le 11 mai 1916 à Bossay-sur-Claise.

Après leurs études et leur mariage, ils occupent leur premier poste double d'instituteurs à Rillé, dans le nord-ouest de la Touraine. Leur fils Jean-Mary nait le 19 janvier 1939.

 

André Couderc est directeur de l'école et secrétaire de mairie. Il est mobilisé et part le 2 septembre 1939 comme sergent-chef du Service de Santé dans une structure sanitaire de ravitaillement. Il a 26 ans, son épouse 23 ans et leur fils 7 mois

Démobilisé le 27 juillet 1940, il regagne Bossay-sur-Claise, en zone libre où résident des membres de sa belle-famille, puis Rillé en zone occupée où il retrouve son épouse et son fils Jean-Mary, âgé de 17 mois et reprend son poste d'instituteur.

 

Le couple a un deuxième enfant à Rillé, Chantal Couderc, née le 22 juillet 1942, puis déménage pour l'école de Beaumont-la-Ronce en septembre 1946. Là naît le troisième enfant du couple, Philippe Couderc, le 24 octobre 1947. André et Christiane Couderc se rapprochent de Tours en septembre 1949 avec la nomination d'André Couderc comme directeur de l'école de Saint-Cyr-Périgourd, tandis que son épouse ne le rejoint sur le poste double qu'après un passage à l'école de Saint-Pierre-des-Corps-Marceau. Christiane Couderc est nommée directrice de l'école Raspail-filles à Tours en octobre 1959, tandis que son époux est adjoint à l'école Raspail-garçons. Christiane Couderc est retraitée en juillet 1971 et son époux un an après.

Les obsèques d'André Couderc sont célèbrées le mardi 27 août 1991 et celles de Christiane Couderc le 28 mai 2009.

 

André et Christiane Couderc, qui ont toujours eu le souci de se rapprocher de Tours pour que leurs enfants puissent faire des études secondaires, avaient jeté beaucoup de documents familiaux ou intimes lors des sept déménagements qu'ils connurent dans leur vie. Ce ne fut pourtant pas le cas pour cette correspondance à laquelle ils devaient être attachés, et qui était conservée dans une petite mallette en osier.

 

 

Une importante correspondance

 

 

Cette correspondance contient 400 lettres échangées du 2 septembre 1939 au 27 juillet 1940, sur une durée de 328 jours pour la grande majorité entre les époux Couderc. Les échanges étaient quasi quotidiens. André Couderc envoya même parfois 2 lettres le même jour. D'autres correspondances vont être adressées de Touraine à André Couderc par ses parents : Alfred Couderc et Clémentine Gasc (tous deux nés dans le nord-ouest de l'Aveyron), qui résident à Saint-Pierre-des-Corps, et ses beaux-parents : Paul Picard (originaire du Poitou) marié à Anaïs Berloquin (née à Bossay-sur-Claise) et habitant Tours ; et Denise, la petite bonne, ancienne élève de l'école de Rillé.

Six lettres ont été envoyées d'Angleterre : une pour Noël 1939, envoyée par Miss Wills, ancienne correspondante de Christiane Couderc et six cartes postales parties de Tonbridge et de Weymouth, lors du bref passage d'André Couderc en Angleterre, début juin 1940.

 

Les dates retenues sont celles marquées au crayon rouge sur les lettres ou les enveloppes par Jean-Mary Couderc lors du classement et de l'étude qu'il en a fait avant qu'elles soient données aux Archives.

 

 

La « drôle de guerre » vécue par André Couderc

 

Ses affectations militaires

 

André Couderc était rattaché à la 2e DLM (Division légère motorisée) qui, avec la troisième, constituait le premier régiment de cavalerie commandé par le général de corps d'armée Prioux qui remplacera le général Blanchard (après son décès accidentel) à la tête de la Première armée, le 26 mai 1940. La 2e DLM avait comme service de santé le 38e Groupe de Santé divisionnaire (GSD 38) à l'intérieur duquel se trouvait un GSR : Groupe sanitaire de Ravitaillement. Plus tard, dans la retraite en juin 1940, André Couderc sera rattaché au Mans, à la 4e SIM (Quatrième section d'infirmiers militaires) ; puis à Buzet (Lot-et-Garonne) au dépôt de la 22e SIM.

En effet seules figurent sur les enveloppes les initiales GSR : Groupe sanitaire de Ravitaillement suivi du numéro de ce groupe, et le numéro du secteur postal comme mentions concernant l'expéditeur. Pour des raisons de sécurité, les lieux d'expédition ne sont pas nommés, à l'inverse des bureaux de la poste civile, Seul le cachet circulaire « Poste aux armées » est apposé sur l'enveloppe. On retrouve également l'inscription F.M (Franchise militaire), appliquée de manière manuscrite sur les enveloppes adressées aussi bien par André que par Christiane Couderc.

 

 

Une longue attente, un bref combat, avant la démobilisation

 

André Couderc rejoint la caserne Mortier à Paris le 2 septembre 1939 puis rejoint Saint-Quentin le 16 septembre, Le 29 octobre, à l'occasion du congé de Toussaint, Christiane Couderc rend visite à son mari. En février 1940, il relate l'ennui terrible et le froid qui accablent les soldats. Le 10 mai, il franchit la frontière pour combattre les Allemands en Belgique, puis en France, au nord-ouest d'Armentières, puis de nouveau en Belgique, près d'Ypres. Fin mai, il se réfugie 3 jours sur une plage à Bray-Dunes. le 1er juin, il est évacué en Angleterre d'où il revient en France, à Brest le 7 juin, puis au Mans, où sa section d'infirmiers est basée. Les soldats reçoivent ensuite l'ordre de se rendre à Bordeaux par leurs propres moyens ; leur périple en vélo les conduit fin juin à Ambrus par Buzet-sur-Baïse (Lot-et-Garonne) au dépôt de la 22ème SIM (Section d'infirmiers militaires). Une nouvelle attente commence, André Couderc donne l'adresse de Bossay-sur-Claise, en Touraine, où réside sa belle-famille, afin d'obtenir la démobilisation qui n'est acceptée que pour les lieux situés en zone libre. Il est démobilisé le 27 juillet 1940. Après avoir regagné Bossay-sur-Claise, il rejoint Rillé en zone occupée où il retrouve son épouse et son fils Jean-Mary, âgé de 17 mois ; il reprend son poste d'instituteur.

 

 

Le témoignage de Christiane Couderc

 

L'intérêt de cette correspondance est qu'elle comporte aussi les lettres envoyées par Christiane Couderc et nous apporte des renseignements très intéressants sur ce qui était vécu par la population civile pendant ce début de la guerre. Elle évoque entre autres les réquisitions des logements pour les réfugiés, la venue de fonctionnaires du ministère des Travaux Publics, suite à la « délocalisation » des ministères en Touraine, les rumeurs sur l'éventuelle présence de militaires d'Afrique du Nord, les difficultés du ravitaillement et sa vie quotidienne.

 

 

 

Modalités d'entrées

Don fait le 2 décembre 2016 par Jean-Mary Couderc, fils d'André et Christiane Couderc

Présentation du contenu

Correspondance échangée du 2 septembre 1939 au 27 juillet 1940 entre André Couderc, instituteur mobilisé comme sergent-chef et son épouse Christiane Couderc, institutrice à Rillé.

Mode de classement

Le classement adopté a été chronologique et pièce à pièce, car seule cette individualisation des documents permet de rendre compte de l'échange des lettres établi entre André Couderc et les différents destinataires et d'en étudier plus facilement le contenu.

Outre la date, l'expéditeur et le destinataire, les caractéristiques plus philatéliques ont été notées, notamment les cachets ou marques de franchise, qui font partie intégrante du document et permettent de situer le contexte.

Conditions d'accès

Communicable

Autre instrument de recherche

COUDERC Jean-Mary. "La drôle de guerre vécue par un jeune couple d'instituteurs de Rillé d'après leur correspondance". Bulletin de l'Académie des Sciences, Arts et Belles-Lettres de Touraine, tome 28, 2015, p.235-262.

Date

1939-1946

Mots clés typologiques

90 photographies : négatifs.

Cote/Cotes extrêmes

265J406 (Cote)

Date

1939-1946

Caractéristiques physiques

négatifs au gélatino-bromure d'argent

Présentation du contenu

1 Jean-Mary Couderc enfant, en bloomer,en 1942, sur le mur de l'escalier de la cave de l'école de Rillé.
2 Jean-Mary Couderc enfant, en bloomer, avec son père André Couderc, en 1942 dans la cour de l'école de Rillé.
3 Jean-Mary Couderc bébé, dans les bras de son père André Couderc, lors de sa permission du 9 décembre 1939, peut-être devant la porte du logement de ses beaux-parents, au 53 rue du docteur Fournier, à Tours.
4 Jean-Mary Couderc et son grand-père maternel en 1944 dans le jardin de l'école de Rillé.
5 Jean-Mary Couderc en 1944 dans le jardin de l'école de Rillé.
6 Chantal Couderc bébé, dans un trotteur dans la cour de l'école de Rillé en 1943
7 Photo de famille des Balland, propriétaires du moulin de Pincemaille à Rillé (seule leur demeure subsiste ; le moulin a été détruit lors de la création du lac de Rillé) et amis de la famille Couderc. De gauche à droite, Romain Balland, sa fille (son second enfant) et sa femme ; les trois autres personnages sont inconnus.
8 Chantal Couderc dans son parc, au printemps 1943, devant la maison d'école de Rillé ; son frère Jean-Mary est assis derrière.
9 Jean-Mary Couderc et sa sœur Chantal dans l'été 1943, dans les landes de Pincemaille.
10 Jean-Mary Couderc et sa sœur dans la poussette, promenés sur la route de La Pellerine à l'automne 1943 par Anaïs Picard, leur grand-mère maternelle.
11 Christiane Couderc et ses deux premiers enfants, dans l'été 1944, devant la pompe de la maison d'école de Rillé.
12 Jean-Mary Couderc et sa sœur, sur le pas de la porte de la maison d'école de Rillé en 1944.
13 Rillé. André Couderc et ses deux premiers enfants lors du premier anniversaire de Chantal le 22 juillet 1943. À gauche, peut-être Léontine Couderc, mère d'André, et à droite, peut-être Jeanine, une parente de Monsieur Leleu, ancien boulanger de Rillé, recueillie pendant plusieurs mois.
14 Voyage de coopérative scolaire du couple d'instituteurs Couderc au château de Chaumont (en 1938 ou 39).
15 La Loire vue du château de Chaumont en 1938-39 . Le pont n'est pas celui reconstruit longtemps après la guerre sur les plans d'un architecte allemand.
16 Voyage scolaire des instituteurs André et Christiane Couderc au Croisic, Vue du port; (en 1938-39)
17 Voyage scolaire des instituteurs André et Christiane Couderc au Croisic, Vue du port.(en 1938-39) .
18 Voyage scolaire des instituteurs André et Christiane Couderc au Croisic. Portrait de groupe sur une plage ; André Couderc fait la photo ; son épouse est à droite. (en 1938-39) ,
19 Le chat Pompon avec Christiane Couderc, peut-être chez ses parents au n° 53 de la rue du Docteur Fournier à Tours.
20 Christiane Couderc, photographiée dans le jardin de la propriété des Thaurons, en compagnie de Mme Morcher et de l'un de ses fils (Michel ?). Rillé,
21 Christiane Couderc en robe" chic "[sa mère et elle-même avaient pour grande amie madame Germaine Chidaine, (ex Madame Jarnier) couturière qui vivait sous les toits au n°55 de la rue du docteur Fournier à Tours; Anaïs Picard, mère de Christiane Couderc, venait faire chez elle de la dentelle, de nombreux après-midi). Robe pouvant remonter aux années 1938-1939. Photographie devant la porte du logis de Rillé.
22 Rillé. Vue de l'église depuis le jardin de l'école. (1939-1946)
23 Rillé. La porte médiévale (en fait des anciennes fortifications du château disparu et non des remparts de le ville médiévale, célèbre baronnie d'Anjou). (1939-1946)
24 Rillé. Vue du monument aux morts de Rillé sous la neige depuis une fenêtre du premier étage du logis d'école. La route au fond est celle de Gizeux et de Parçay-les-Pins. (1939-1946)
25 Rillé. Vue de l'église sous la neige depuis le jardin de l'école. (1939-1946)
26 Rillé. Vue du jardin de l'école sous la neige. (1939-1946)
27 Rillé. Vue de la cour de l'école sous la neige. (1939-1946)
28 Rillé. Élèves de l'école autour d'un bonhomme de neige. Au fond, chacune devant deux arbres, Émilienne Leleu, à gauche, et Lucienne Duval, à droite. Ces deux élèves sorties de l'école à 12 ans conformément à la loi, furent obligées d'y revenir un an plus tard lorsque la sortie de l'école primaire fut prorogée à l'âge de quatorze ans. Hiver 1940-1941,
29 Rillé. Jean-Mary Couderc et sa sœur Chantal dans les bras d'Anaïs Picard, sa grand-mère maternelle, devant la pompe, cour de l'école, en 1944.
30 Chantal Couderc devant la porte du logis d'école de Rillé en automne 1944.
31 Christiane Couderc tenant dans ses bras Chantal Couderc devant la porte des Thaurons à Rillé (manoir des Morcher; ancienne demeure des frères Luminais qui, les premiers, avaient asséché les étangs de Rillé).
32 Lucienne Duval (?) tenant dans ses bras Chantal Couderc devant la maison d'école en en 1942.
33 Christiane Couderc tenant dans ses bras sa fille Chantal devant la maison d'école en 1942.
34 Jean-Mary Couderc tenant la main de sa sœur Chantal dans la cour de l'école de Rillé en 1944 (au deuxième plan, la pompe).
35 Jean-Mary et Chantal Couderc dans la partie nord de la cour de l'école de Rillé en 1943.
36 Philippe Couderc allongé sur une table en bambou devant la porte du logis d'école Est de Beaumont-la-Ronce au début de l'année 1948.
37 Christiane Couderc et sa fille Chantal devant la maison d'école de Rillé en 1943.
38 Philippe Couderc tenant la corde à nœuds sous le préau de l'école de Beaumont-la-Ronce en 1949.
39 Philippe Couderc en 1949, assis sur l'ânesse de son arrière grand-père à Bossay-sur-Claise en présence d'Anaïs Picard (c'est l'année de sa mort) et de son grand-oncle Georges Chaimbault, bourrelier-sellier à Bossay.
40 Devant la porte du logis de Rillé : André Couderc et la bonne Émilienne Leleu tenant la main de Jean-Mary Couderc en pyjama (1942 ?).
41 A Rillé, aux Thaurons, la fille aînée des Morcher tenant Chantal Couderc dans ses bras.
42 Rillé.Jean-Mary Couderc et la bonne Emilienne Leleu sur les marches devant la porte en 1941.
43 Jean-Mary Couderc et son père André Couderc devant la porte du logis de Rillé, fin 1941.
44 Rillé. Jean-Mary Couderc poussant une petite brouette avec des jouets en 1941 ; au fond le portail donnant sur la place de la mairie.
45 Jean-Mary Couderc bébé devant la fenêtre de la cuisine à Rillé en 1939 ?
46 Personne inconnue sur un lit avec son bébé.
47 Vue générale de Rillé à partir de la route allant à la Grand-Maison, au lieu dit « Le Petit-Pincemaille ». 1939 ?
48 Christiane Couderc poussant une voiture d'enfant sans doute avec Jean-Mary Couderc en 1939.
49 Vue de l'église de Rillé et du Lathan à travers les arbres depuis le nord du bourg et la route de Channay-sur-Lathan.
50 André Couderc en permission en décembre 1939, photographié par son épouse dans la cour commune du n° 53 de la rue du Docteur Fournier à Tours.
51 André Couderc en permission en décembre 1939, et son épouse Christiane dans la cour commune du n° 53 de la rue du Docteur Fournier à Tours.
52 André Couderc, en uniforme mais sans képi, photographié à Saint-Pierre-des-Corps (Impasse Marceau) chez ses parents devant la fenêtre de la chambre et la petite dépendance en bois (côté Est ) construite par son père Joseph.
53 André Couderc, rue Marceau, à Saint-Pierre-des-Corps chez ses parents, devant la porte de la « petite cuisine » en bois construite par son père ; c'est un jour de soleil (ou de pluie) et la toile protectrice a été tirée. Décembre 1939 ?
54 André Couderc, permissionnaire, en capote, photographié devant la fenêtre ouverte de la salle à manger de ses parents, rue Marceau, à Saint-Pierre-des-Corps. Décembre 1939 ?
55 André Couderc en uniforme militaire avec la capote, dans le jardin de la préfecture à Tours, Décembre 1939 ?
56 André Couderc, en uniforme, avec capote, rue Marceau, à Saint-Pierre-des-Corps chez ses parents, devant la porte de la « petite cuisine » en bois construite par son père. 1939 ?
57 André Couderc en uniforme devant la façade de la maison de ses parents à Saint-Pierre-des-Corps, devant la fenêtre et la dépendance Est en bois. 1939 ?
58 André et Christiane Couderc en 1936 ou 1937 mais en un lieu inconnu.
59 Christiane Couderc en 1936 ou 1937 mais en un lieu inconnu.
60 André et Christiane Couderc en 1936 ou 1937 mais en un lieu inconnu.
61 André Couderc, en gabardine, en 1936 ou 1937 mais en un lieu inconnu.
62 Atterrissage d'un avion militaire français : un Potez 25 12 A2 à moteur Salmson (construit à partir de 1926) dans la plaine de la Briche, non loin de l'école, de l'autre côté de la route de Tours en 1939.
63 Les habitants du village autour d'un avion français (un Potez 25 12 A2 à moteur Salmson ) ayant atterri dans la plaine de la Briche à Rillé, 1939
64 Bâtiment d'une partie du moulin de Mézières-en-Brenne où vivait un cousin de la famille Couderc (peut-être nommé Giraud ?) ; la famille Couderc lui avait rendu visite, peut-être fin 1944 ? Le canal d'amenée de l'eau arrive entre les deux murs et pénètre dans le bâtiment.
65 André et Christiane Couderc, leur fils Jean-Mary et dans le landau, leur fille Chantal, avec Madeleine Jarnier (fille de la couturière Germaine Chidaine) dans la cour de l'école de Rillé vers septembre 1944.
66 Scène de fête, Banderole "Honneur aux invités" , Rillé, possible fête de la libération après le 8 mai 1945. Sur cette première photo, la foule est massée aux « quatre routes », devant le café Cauveau (militant communiste) en probable liaison avec la manifestation au monument aux morts .
67 Scène de fête, Rillé, manifestation au monument aux morts , après le 8 mai 1945.
68 Langeais. André (qui prend la photo) et Christiane Couderc sont en visite à Langeais avec Mme Morcher, femme du maire de Rillé, et son fils déjà repérés sur la photo n° 20. Il s'agit du flanc nord du château de Langeais
69 Le pont de Langeais. Ce nouveau pont suspendu construit de 1935 à 1937, avait été détruit (malgré l'opposition de la municipalité) le 19 juin 1940. Il a été reconstruit de déc. 1949 à nov. 1950. On peut donc penser que cette photographie a été prise par André Couderc en 1938 ou 1939.
70 6 éléphants d'un cirque qui viennent peut-être de débarquer du train en gare de Tours, sur le côté de la gare, donnant rue de Paris (l' actuelle rue Edouard Vaillant). Au loin, à gauche, on peut voir l'hôtel de Bordeaux sur la place de la gare.
71 Eléphants d'un cirque dans les rues de Tours
72 Eléphants d'un cirque dans les rues de Tours
73 Entrée Est de Preuilly-sur-Claise en venant de Bossay. Le petit pont constitue la limite entre les deux communes;
74 Preuilly-sur-Claise. La poterne et le château de Preuilly.
75 Femme devant un muret
76 Chantal Couderc bébé sur les genoux de sa mère devant la porte du logis de Rillé. 1942
77 Chantal Couderc à 6 mois, sur sa chaise haute tenue par son père, devant le logis d'école de Rillé. 1942
78 Chantal Couderc bébé devant la fenêtre de la chambre de Rillé. 1942
79 Rillé, Moulin de Pincemaille, disparu sous le lac de Rillé, dans les années 1980
80 Femme avec un bébé dans les bras
81 Moulin de Pont-de-Ruan
82 Le château de Vonne en piètre état, classé en 1943, sur la commune de Pont-de-Ruan.
83 Christiane Couderc et son grand-père Théophile Berloquin (sacristain) photographiés devant le Cher, avec en arrière le pont du Sanitas à Tours (1939 ?).
84 Christiane Couderc se baignant dans le Cher (en aval de Tours ?).
85 Groupe de 4 personnes devant l'atelier de Paul Picard dans la cour de son logement, au 53 de la rue du docteur Fournier à Tours vers 1936-37. De gauche à droite : Paul Picard, son épouse Anaïs (les parents de Christiane Couderc), Madeleine Chidaine et sa mère Germaine Chidaine.
86 Chantal Couderc dans les bras de son père bien habillé ; serait-ce pour son baptême en 1942 ?
87 Christiane Couderc dans sa classe à Rillé, 1942-43
88 Christiane Couderc tenant son troisième enfant, Philippe, par les mains, entourée par Jean-Mary et Chantal ses autres enfants. Dans le fond, la maison occupée par le Directrice, Mme Aucouturier. 1948
89 Christiane Couderc tenant dans ses bras son fils Philippe à Beaumont-la-Ronce, devant les vignes de l'école en 1948.
90 Chantal Couderc dans les bras de sa mère assise sur les marches de l'entrée de la maison d'école à Rillé à la fin 1942.