Pierre Nicolas Saint-Bris, propriétaire et directeur de la manufacture d'acier et de limes à Amboise, épouse Marie Louise (dite Niza) Brelut de Lagrange le 11 novembre 1812. Le couple habite rue de Tours à Amboise. Deux fils naissent de cette union, dont Pierre Eugène Nicolas (dit Eugène Nicolas) Saint-Bris, manufacturier à Amboise, habitant également rue de Tours, qui se mariera avec Adèle Corbie, et dont il aura pour enfant François Louis Gaston Saint-Bris, né en 1847.

Le père de Marie Louise Brelut de Lagrange, Louis Nicolas Brelut de Lagrange, est notaire à Paris de 1785 à 1802. Il a également deux fils, dont un prénommé André, qui s'est installé en Guyane, à Cayenne, dans le quartier d'Oyapock. Il y cultive un domaine avec des esclaves noirs.

Achat du 17/01/2024, vente aux enchères, hôtel des ventes Giraudeau à Tours.

Pierre Nicolas Saint-Bris et Marie Louise Brelut de Lagrange, acquisition d'immeubles à Chargé et Souvigny en 1824 : actes de vente, quittances, état et certificats de radiation des inscriptions hypothécaires (1794-1834), anciens contrats de vente (1690, clos de la Genetière à Chargé, par Marie et Louis Foucault à Michel Frappier, maître boulanger), bail à rente (1734, lieux du Pissoir et de La Touche, clos du Colombier, des Gillotières, de La Coudraie, des Barbedures, et de la Verdonnerie, par Madeleine Frapier à Mathurin Frogier, maître boulanger et Catherine Frapier sa femme).

Dépôt au greffe du juge de paix d'une sentence arbitrale concernant messieurs Saint-Bris père et fils (1851).

Eugène Nicolas Saint-Bris, litige avec le commune de Souvigny au sujet d'un chemin bordant sa ferme du Moulin à vent (Souvigny) : lettre au préfet (1866).

Gaston Saint-Bris : convocations par le juge de paix, acte sous seing privé pour l'exploitation d'une coupe de bois à Souvigny (1881), quatres lettres personnelles reçues (1863-1864).

Louis Nicolas Brelut de Lagrange, journal de sa correspondance avec son fils André, dit Lagrange Saint-André, colon à Cayenne au quartier d'Oyapock (1825-1835).

Accès libre

Se référer au règlement des Archives départementales d'Indre-et-Loire

Au moment de leur acquisition, ces archives faisaient partie, avec les cotes 1J1737, 1J1739 et 1J1740, d'un même lot en vente, relatif à des familles d'Amboise ou à des évènements s'étant déroulé à Amboise. Aucun autre lien n'a été établi entre ces quatre ensembles de documents.